Midi webinaire « Aménager pour mieux bouger, les défis de l’architecture active » avec:

• Paolo Basso Ricci, architecte, bureau RBRC architectes à Fribourg
• Monica Aceti, sociologue, chargée de cours à l’université de Fribourg et MCF à l’université de Strasbourg

Le travail sur les écrans, nos moyens de transports, le manque d’attractivité de certains environnements sont autant de raisons valables de passer sa journée assis, augmentant la sédentarité, le surpoids, les maladies non transmissibles. Derrière le titre «Aménager pour mieux bouger, les défis de l’architecture active» se cache un vaste champ d’application encore largement inexploré. A l’intérieur comme à l’extérieur, l’architecture et l’urbanisme peuvent favoriser la santé et le bien-être en créant des espaces conçus pour encourager l’activité physique.

Cette incitation à mettre les corps en mouvement est incluse dans le nouveau Complément ECO de Minergie, qui vient d’entrer en vigueur. Deux prescriptions visent à lutter contre la sédentarité, un enjeu important de santé publique. Cet objectif pose des questions très concrètes de conception des bâtiments.

L’architecte Paolo Basso Ricci, du bureau RBRC à Fribourg, s’est pris de passion pour cette approche. Il a appliqué ses réflexions dans la transformation de l’établissement cantonal des assurances sociales (ECAS) à Givisiez. Monica Aceti, sociologue de la santé et de l’activité physique adaptée (APA) à l’Université de Fribourg et de Strasbourg, a réalisé une enquête auprès du personnel de l’ECAS avant et après la transformation.